La sangsue du Maroc est en passe de se faire écraser. La guerre à la corruption a été déclarée et, cette fois-ci, c’est le grand assaut. L’Instance Centrale de Prévention de la Corruption (ICPC) verra bientôt le jour, mais les modalités de création de cet organisme sont loin de plaire à tout le monde…
Ces dessins dans un pays où l’extrême droite a fait plus de 13 % des suffrages aux dernières élections législatives et où le débat public sur l’islam est particulièrement radical, ne pouvaient que susciter la polémique. Pour Tøger Seidenfaden, directeur de la rédaction du quotidien danois Politiken, « Il y a volonté d'offenser, car c'est dans la logique présente de l'atmosphère politique au Danemark. La recette à succès, en politique et dans les médias, c'est de dire que
Les jeunes filles des campagnes ne sont pas nombreuses à emprunter le chemin de l'école. Les quelques rares qui y parviennent, s'accrochent comme elles peuvent jusqu'au niveau sécondaire voire supérieur.
Des expressions libres qui déchaînent les passions La publication d’une douzaine de caricatures danoises, représentant le Prophète Mohammed, dont une le montrant coiffé d’un turban en forme de bombe, provoque depuis une semaine une série de réactions. Des ambassadeurs postés au Danemark sont rappelés. Dans certains pays du Golf les produits danois sont retirés de la vente. En Palestine, à Gaza, un groupuscule armé menace l’Union Européenne, etc.
La liberté d'expression oui, la liberté d'expression deux poids deux mesures non !
La fièvre des caricatures gagne la France. Depuis le déclanchement des événements liés aux publications danoises, on redoutait la propagation du phénomène et la contagion d’une France qui n’attend que ça. Il a fallu « l’audace » d’un journal presque en fin de vie pour que « les défenseurs de la liberté » se déchaînent contre ce monde musulman qui ne veut toujours pas comprendre « les principes de la démocratie occidentale » !
Il y a une centaine de jours, les marocains du monde entier s’étaient unis pour demander la libération des deux otages marocains détenus par El Qaida, Abderrahim Boualam et Abdelkrim El Mouhafidi. Aujourd’hui, nos deux compatriotes sont toujours détenus quelque part en Irak…Leur sort reste inconnu pour le moment, aucune nouvelle depuis ce mémorable 20 octobre 2005.
J’aimerais introduire ce texte par un avertissement indispensable qui situe autant ce contenu que les attentes de cette écriture. Cette question de la précarité et de la pauvreté, nous lui avons consacré entre autre et il y a déjà quelques années, une rencontre en France sur le thème : Vieillesse et précarité. C’est dans le prolongement de cette réflexion que nous avons continué à
Etre jeune au Maroc, comme ailleurs, incite à la réflexion sur l’avenir et sur les perspectives à entrevoir. Y a-t-il d’autres alternatives pour certains, sans vouloir englober toute la jeunesse marocaine dans une entité homogène, que l’émigration, le renoncement ou la radicalisation dans ses différentes expressions? Ces solutions se valent, émanant d’expériences ressenties, souvent, comme une impasse !
Deux sorties. Une défaite. Un match nul blanc. Zéro but planté. C'est la moisson de l'équipe nationale dans la poule A en attendant son troisième match face à la Libye. Pour le moment, l'heure est aux calculs des probabilités qui semblent des plus improbables. Mais le coup favorable de la Providence est possible…