Aujourd'hui vendredi 10 octobre, c'est la première journée de la femme marocaine. Dans l'année, les marocaines auront donc deux journées rien que pour elles : le 10 octobre et le traditionnel 8 mars qui est la journée mondiale de la femme.
Les chiffres sur la mendicité sont accablants. Moins d'un point de vue quantitatif que dans la sphère comportementale des protagonistes. On les retrouve partout : Feux rouges, entrée des mosquées, écoles, restaurants, bus. Certains vont même jusqu'à user du porte à porte. Les techniques, elles, sont tout aussi variées. Difficile donc dans ce contexte d'établir la part des choses, d'autant plus que les histoires de mendiants millionnaires ne manquent pas.
Le cinéma national a décidé de se faire un nom, et il semble en bon chemin. La promotion cinématographique nationale, à l'égard des marocains mais aussi dans une dimension internationale, commence à être connue et reconnue.
A compter de ce samedi et jusqu'au 18 octobre, Silves, petite ville du Portugal, promeut la culture marocaine : Photographies, artisanat, musique traditionnelle et gastronomie seront au rendez vous.
Le remplacement de Peter Van Walsum par Christopher Ross devrait certainement relancer les pourparlers laissés en standby entre le Maroc et le Polisario. Bientôt six mois que le dialogue est rompu.
Née au Maroc et Catalane de coeur, Najat El Hachmi entame la promotion de son tout dernier roman, Le dernier Patriarche (El ultimo patriarca). Première étape demain 10 octobre, à Saint Jacques de Compostelle.
Nabil Dirar portera finalement le maillot des Lions de l'Atlas. Ce dernier a été de nouveau appelé par Roger Lemerre pour affronter la Mauritanie le 11 octobre prochain. Et cette fois-ci, le joueur a bien accepté l'invitation du sélectionneur des Lions de l'Atlas.
Ils sont quelques cinquante jeunes du Maroc, Algérie, Tunisie, France, Espagne et Italie à s'être rendus en Espagne pour participer, dès le 9 octobre, au Forum Euro-Maghrebin de la Jeunesse afin d'analyser ensemble le développement de stratégies et de projets communs dans les domaines économique, social et culturel.
Et elles ont bien raison. Nos ladies parlementaires dénoncent la marginalisation dans un appel lancé à Rabat le 8 octobre. Elles réclament un tiers des sièges lors des communales de 2009.
Marrakech, Sidi Ifni, même combat. Investir l'espace public pour défendre (encore) la cause des victimes de la répression de ces manifestations, flirtant allègrement avec la barbarie, n'est (toujours) pas au goût des forces de l'ordre.