L’internet est devenu un média à part entière dans la majorité des pays industrialisés. C’est un lieu de débat, de dénonciation, d’exercice de sa citoyenneté. Les vidéos d’hommes politiques français, belges, américains pris en flagrant délit de mensonge, en état d’ébriété ou autres font un tapage tellement fort sur le web, que les médias traditionnelles s’en empare rapidement.
La situation du journal Al Watan Al An se complique de jour en jour. En effet, après la garde à vue prononcée à l’encontre du directeur de publication et du rédacteur de l’article, qui a déclenché la réaction, quelque peu tardive (parution vendredi 13 et réaction mardi 17 juillet ?!) de l’appareil sécuritaire, des membres de l’armée (un colonel et autres gradés) ont fait l’objet de convocations, hier, pour répondre à une éventuelle «collaboration étroite» avec
C’était entre le 5 avril et le 4 mai 2007 qu’il fallait s’inscrire sur les listes électorales dans la commune où l’on habite ou, à titre exceptionnel, dans la commune de naissance. A l’exception des militaires, des agents de force publique et des fonctionnaires porteurs d’armes, tout citoyen portant la nationalité marocaine, résidant au Maroc ou à l’étranger et âgé de 18 ans révolus, a le droit de vote.
Hier matin, les locaux du journal arabophone El Watan, un des plus gros tirages du pays, ont été investis par des membres de la police secrète, un service rattaché au ministère de l’Intérieur. La raison ?
Ils ont moins de 14 ans et pourtant ils vivent déjà dans le monde des « grands ». Ces petits mécaniciens, maroquiniers, soudeurs, vendeurs, laveurs de vitres, menuisiers ou domestiques travaillent aussi dur que les adultes, des fois plus longtemps et sont souvent très mal payés. Quelles sont leurs conditions ? Le système fournit-il vraiment assez d’efforts pour protéger ces victimes des carnassiers du capitalisme ? Et qu’en disent les ministères concernés?
Au lendemain de l’annonce faite par le ministre de l’Intérieur, Chakib Benmoussa, sur le risque très élevé d’attentats terroristes au Maroc et qui serait piloté par la cellule Al Qaida Maghreb, des zones d’ombres viennent brouiller les neurones de bon nombre d’observateurs avertis, soucieux de collecter de l’information (crédible) pour se fabriquer une opinion.
Projet pris en charge par la CGI (Compagne générale immobilière), le coût de la construction de «Casablanca Marina» s’élève à 5 milliards de dirhams, étalé sur 26 hectares destinés à la construction d’un port de plaisance sur la corniche casablancaise. Un projet qui permettra également la création de 25 000 emplois permanents.
Avec la coopération de la commune urbaine de Meknès, le Ministère de la Culture organise la 9éme édition du festival national du théâtre qui devrait durer 8 jours.
Voilà l’été qui sonne le glas ! Musique on the vibe, vitre baissée, tête « gélatinée », soleil éclatant (ou presque), lunettes-libellule et c’est parti pour la plage, qui clame haut et fort : « Iwa khellini nkiya » !
En sillonnant les rues de la ville blanche, on se rend compte que le phénomène SPA à Casablanca et au Maroc en général, prend énormément d’ampleur…On passe du hammam du coin au SPA de quartier ! Phénomène de mode ou réel besoin de la population marocaine et des touristes raffolant d’un séjour au pays du soleil couchant ? Les motivations peuvent être diverses et variées mais le constat est là ! Au Maroc, on assiste ces dernières années à une floraison de centres de remise