Le Maroc réagit vivement à la campagne de certains médias égyptiens contre le Maroc. Pour la première fois depuis la destitution du président Mohamed Morsi, un média officiel marocain remet en question l’élection du président Abdelfattah Al Sissi et le présente même comme le «leader des putschistes».
Malgré lui, le directeur du CCM continue d’alimenter la polémique sur l’interdiction du film «Exodus : Gods ans kings» au Maroc. L’homme affronte sa première grande crise alors qu’il n’est aux commandes du centre cinématographique que depuis trois mois.
Abdelilah Benkirane ne souhaite pas que Baha se transforme en mythe. Pour cela, il vient d’initier une campagne de communication afin de montrer que son défunt compagnon avait des défauts comme tout autre humain.
Après les journalistes français, c’est au tour des américains d’être la cible de «Chris Coleman». Dans un nouveau tweet, le hacker a révélé la relation entre un journaliste américain et des officiels marocains. Détails.
Le Collectif des associations des droits de l’homme marocaines menace de recourir à l’ONU pour défendre le droit de ses composantes à manifester sous différentes formes. La campagne du ministère de l’Intérieur contre l'AMDH risque donc de s’internationaliser.
Après plus d’une semaine de silence, trois journalistes français accusés par «Chris Coleman» d’être à la solde du Maroc ont décidé de réagir le même jour. Un timing qui n’est pas sans susciter des interrogations. Vincent Hervouët, cité également par le hacker, ne s’est pas encore manifesté.
Le secrétaire général du conseil des oulémas a réagi à l’interdiction du film «Exodus : Gods and Kings». Mohamed Yessef a affirmé, dans des déclarations au quotidien Attajdid, qu’une œuvre qui «représente Dieu n’a pas sa place au pays du commandeur des croyants».
En attendant le retour du roi Mohammed VI, en voyage privé en Turquie, pour connaitre le sort de Mohamed Ouzzine, les députés de l’USFP attaquent le ministre sur une nouvelle affaire. Il aurait signé dans l’ «illégalité» un accord avec Eurosport. La chaîne réclame ses droits. Benkirane est appelé à ouvrir une enquête. Détails.
Les arrestations dans les rangs des partisans de Daesh se poursuivent. Les autorités ont interpellé une dizaine de salafistes à Fnideq, Tétouan et Agadir. C’est la deuxième grande opération de ce genre en l’espace de trois jours sans. Et une nouvelle fois, le ministère de l’Intérieur n’a pas publié le moindre communiqué annonçant la nouvelle. Le contexte des fêtes de fin
Al Adl wal Ihsane croit que «les politiques prédatrices» menées par certaines parties vont porter l'estocade contre le secteur public de la santé au Maroc. AWI dénonce, ainsi, l’ouverture du capital privé des cliniques au non-professionnel. La Jamaâ appelle à la création d’un front entre les opposants à cette libéralisation, menée, selon elle, dans la «précipitation».