Les responsables de la délégation des prisons sont sur la sellette. Ne faisant pas dans la dentelle, un rapport parlementaire les accuse d’être à la tête d’un réseau de trafic de drogue, de cigarettes et de téléphones.
Le feuilleton du scandale du CIH n’est pas prêt de se terminer. Dans sa nouvelle édition 2012, les acteurs changent mais le fond reste le même : mauvaise gestion des deniers publics.
Le PJD est l’un des partis, sinon le seul, à être en pérpetuelle campagne électorale. Bien qu’ils soient au gouvernement, ses têtes d’affiche poursuivent leur agenda, animant des meetings, mobilisant la foule et menaçant leur «ennemis».
Le fil des polémiques ne tarit pas. Abdellah Nahari, le très controversé imam, est l’auteur d’un appel à l’assassinat du journaliste Mokhtar Laghzioui. Dimanche, le religieux, comme nous le confirme son avocat, a été interrogé par les services de la police judiciaire de Oujda pour incitation à la violence.
C’est une première dans l’histoire de l’un des plus vieux partis au Maroc. Hamid Chabat, un ancien ouvrier, souhaite mettre un terme à la dynastie des Fassi à la tête de l’Istiqlal.
Après l’huile alimentaire, c’est au tour du lait. L’ONA vient de se retirer de la Centrale laitière. Il reste encore les biscuiteries et le sucre pour se désengager totalement, ou presque, du secteur de l’agroalimentaire.
L’agence européenne anti-drogue et l’office des Nations-Unies de lutte contre la drogue et le crime (UNIDOC) vient de publier, simultanément, leurs rapports pour 2012. Les deux pointent le Maroc comme le premier fournisseur du marché européen en cannabis. Au niveau mondial, c’est l’Afghanistan qui tient le haut du pavé.
Presque un mois après la hausse des carburants décrétée par le gouvernement Benkirane pour «sauvegarder le pouvoir d’achat des plus démunies», l’heure est, plus que jamais, à la réforme de la caisse de compensation.
Nouveaux rebondissements dans l’affaire Amara, le ministre de l'Industrie porte plainte contre l’hebdomadaire arabophone Al An. Youssef Jajili, son directeur, compte également saisir la justice. Une affaire qui suscite bien d’interrogations sur les enjeux en coulisses et à qui elle profite.
Après l’affaire des cahiers des charges de l’audiovisuel, le roi aurait rappelé à l’ordre les ministres du PJD. L’incident aurait eu lieu à Oujda à l’occasion du conseil des ministres.