Pendant la Seconde Guerre mondiale, les juifs marocains n'étaient pas à l'abri des lois nazies discriminatoires à leur encontre. Le gouvernement de Vichy, fidèle à Hitler, a même tenté de les exclure de la vie culturelle, intellectuelle et politique, en incitant le sultan Mohammed Ben Youssef à ratifier des lois contre les personnes de confession juive.
Sauterelles, cardons, mauve (khoubiza),… Les Marocains s’étaient tournés vers des aliments non conventionnels en temps de crises et de famine. Selon des historiens, ils ont même consommé de la viande de chat, de chiens et d’humain pour survivre.
Le 29 décembre de chaque année, les batailles de Jbel Baddou fêtent leur anniversaire. La date a été choisie par le Haut-commissariat aux anciens résistants et anciens membres de l'Armée de libération pour «préserver la mémoire nationale». Retour sur les faits marquants de cette bataille menée par les tribus amazighes contre le joug de la colonisation.
Appelée «année de k’hikiha», en allusion à la petite toux gênante et persistante symptomatique chez un grand nombre de Marocains, cette période de l’histoire sera marquée par plusieurs décès d’une maladie mystérieuse jusqu’à nos jours, vite détrônée en nombre de décès par la peste.
Comme chaque période de l’année, entre la fin du mois de décembre et le début de janvier, des ex-membres soufflent - en cachette - les bougies commémorant l’anniversaire de l’Union nationale des étudiants du Maroc (UNEM). Un nom qui résonne toujours dans les esprits de ceux qui ont été encadrés par cette organisation ou ont activement contribué à sa création et à son
Dès 1647, le Maroc tentera de récupérer Ceuta, ville contrôlée par l’Espagne depuis 1580 et Melilla, préside occupée à partir de 1497. Des tentatives qui seront toutes vouées à l’échec, même si Moulay Mohammed Ben Abdellah était à deux doigts de reconquérir Ceuta en 1775.
Comme chaque période de l’année, entre la fin du mois de décembre et le début de janvier, des ex-membres soufflent -en cachette- les bougies commémorant l’anniversaire de l’Union nationale des étudiants du Maroc (UNEM). Un nom qui résonne toujours dans les esprits de ceux qui ont été encadrés par cette organisation ou ayant activement contribué à sa création et à son
Dans son autobiographie, Tahar Zbiri, premier chef de d’État-Major de l’ANP en Algérie est revenu sur le rôle du Maroc lorsqu’il avait fui son pays suite à l’échec de sa tentative de coup d’Etat. Bien que le royaume ne lui accorda l’asile qu’en 1978, il s’y était rendu à plusieurs reprises. Histoire.
Comme chaque période de l’année, entre la fin du mois de décembre et le début de janvier, des ex-membres soufflent en cachette les bougies commémorant l’anniversaire de l’Union nationale des étudiants du Maroc (UNEM). Un nom qui résonne toujours dans les esprits de ceux qui ont été encadrés par cette organisation ou ayant activement contribué à sa création et à son
Lorsque des épidémies et des catastrophes frappaient le Maroc dans le passé, les sultans les attribuaient à la corruption de la population et leurs déviances, tandis que les Marocains accusaient leurs dirigeants d’injustice et de non-application de la loi de Dieu. Histoire.