Au XVIIe siècle, alors que le Maroc est divisé et le pouvoir saadien en place affaibli, un combattant de la tribu des Beni-Gorfet, de la région de Habt (Nord-Ouest du Maroc), mène alors une résistance acharnée contre les Portugais puis les Anglais. Mais la soif de Lakhdar Ghaïlan pour le pouvoir le pousse à combattre sur plusieurs fronts, avant d'être tué par Moulay Ismaïl.
En 1981, le roi Hassan II se rend dans la capitale kényane, Nairobi, pour prendre part au sommet de l'OUA et déclarer que le Maroc accepte l’option d’un référendum d’autodétermination au Sahara. Le 12 novembre 1984, l'organisation continentale acceptera la «RASD» comme membre, contraignant le Maroc à claquer la porte et s’opposer à tout rôle africain dans le règlement de ce conflit.
Le 22 août 1955, représentants du mouvement national marocain, alliés marocains du protectorat français et responsable du gouvernement de l’Hexagone, se réunissent à Aix-les-Bains pour des pourparlers. Si des historiens qualifient cette rencontre de tournant décisif dans l’histoire du royaume chérifien, d’autres pointent du doigt l’échec du rendez-vous tandis que certains évoquent des manigances.
Dépêché par le sultan alaouite Moulay Mohammed Ben Abdellah auprès du sultan de l’empire ottoman Moustapha III, Abdelkrim Ragoun ne reviendra pas bredouille de Constantinople. Il ramène avec lui des cadeaux précieux et un navire chargé de canons.
En 1966, le chanteur et compositeur britannique Graham Nash a visité le Maroc. Il a pris le train reliant Casablanca à Marrakech et a fini par écrire une chanson à ce sujet. Sa piste est devenue un hit de WoodStuck dans les années 70.
Dépêché par le sultan alaouite Moulay Ismail pour le représenter auprès de la reine Anne d’Angleterre en 1707, Don Joseph Diaz appréciera sa vie sociale à Londres, participant à plusieurs événements et savourant ses lectures de la presse écrite anglaise de cette époque.
Larabi Babmar, surnommé «Larbi Mirikan», accompagné de son ami, avait entamé une aventure sans précédent. Dans les années 1980, les deux aventuriers avaient alors décidé de se rendre aux États-Unis d'Amérique, au départ du port d'Essaouira, à bord d’un petit bateau de pêche, avant de se retrouver en Guyane française, près du Brésil.
Parallèlement à l’histoire officielle sur le coup d’Etat militaire du 16 août 1972, un voyage a été effectué par le lieutenant-colonel Mohamed Amekrane et quatre autres de ses compagnons vers Gibraltar le jour du putsch. Ils seront ensuite extradés vers le Maroc, en collaboration avec les autorités britanniques. En 1973, la Cour européenne des droits de l’homme déclare la requête formulée par la
Courageux, intrépide et proche du sultan Moulay Abdelaziz, Caïd Maclean était un général écossais et instructeur de l’armée marocaine. Au cours de sa carrière l’ayant conduit au royaume, il traversa une série d’expériences passionnantes.
L’histoire officielle retient surtout les deux célèbres coup d'Etat contre feu le roi Hassan II. Mais une autre tentative visait à assassiner le roi à l’intérieur de son palais. Durant les mois de juillet et août de l’année 1963, l’UNFP, Fqih Basri, Moumen Diouri, Omar Benjelloun ou encore Abderrahmane Youssoufi feront la Une de plusieurs journaux marocains et étrangers.