Contrairement à Mustapha Ramid qui a pris ses distances avec la série d’interdictions d’activités d’associations des droits de l’Homme décrétée par le ministère de l’Intérieur, Mustapha El Khalfi a tenu à défendre Hassad. Le ministre de la Communication et porte-parole du gouvernement a tout simplement nié toute restriction.
Le 29 octobre de chaque année, la gauche marocaine commémore la disparition de Mehdi Ben Barka. A plus de trois semaines de l’événement, le parti créé par Ben Barka en 1959, l’Union nationale des forces populaires, une scission de l’Istiqlal de Allal El Fassi, revient à la une de l’actualité. Après des décennies dans l’ombre, un avenir prometteur semble l’attendre.
Les sans-papiers marocains d’Algérie ont l’habitude de traverser clandestinement la frontière à l’approche de l’Aïd el Kébir pour revenir célébrer l’événement avec leurs proches. Mais cette année, avec la menace terroriste qui plane, tout ne s’est pas passé comme prévu. Ces MRE ont dû être soumis à un contrôle très strict de leurs identités
Felipe VI tarde à répondre à la demande du président de Melilla de visiter la ville. Le souverain espagnol évite pour le moment toute escalade avec le Maroc. A défaut d’un voyage, comme l’avait fait son père en 2007, Felipe devrait rencontrer Imbroda à Madrid, avant la fin de cette année dans le cadre de consultations avec les présidents des régions autonomes. Seulement Melilla et Ceuta n’ont pas
Le Polisario est très déçu de l’intervention du président mauritanien devant l’Assemblée générale de l’ONU. Mohamed Ould Abdelaziz, en sa qualité de président de l’Union africaine, a abordé plusieurs questions internationales mais a omis de mentionner le Sahara occidental.
Il ne fait pas bon pour les juges marocains de critiquer les décisions du ministère de la Justice. Mohamed Anbar l’a appris à ses dépens. Il vient d’être radié à vie pour avoir, ouvertement, exprimé son désaccord avec la suspension de la coopération judiciaire avec la France, décrétée Mustapha Ramid, dans le sillage de l’affaire Hammouchi.
Le gouvernement Benkirane a grandement besoin de devises. Et pour se faire, il compte s’adresser aux anciens MRE ayant transférer définitivement leur résidence au Maroc mais possédant encore des avoirs à l’étranger. Il compte corriger son erreur et abroger de vieux textes datant de 1949 et 1959 qui répriment les infractions de changes. Détails.
Les réunions internationales qu’accueille le royaume ont toujours connu la présence de représentants israéliens. Le Forum mondial des droits de l’Homme, prévu fin novembre dans la ville ocre, ne devrait pas déroger à la règle. A deux mois de cette échéance, Al Adl Wal Ihsane se lève contre la présence d'une délégation israélienne à Marrakech.
Diagnostiquant le paysage politique, Benkirane a conclu que l’opposition est conduite par «deux individus qui ignorent tout en politique». Si le PJDiste s'est montré dur avec l’USFP et l’Istiqlal, il a en revanche épargné le PAM.
Le Sahara renoue avec les tensions. Cette fois, c’est au tour de la ville de Dakhla pourtant réputée clame. Le Polisario et son réseau d’associations se sont saisis de la mort d'un détenu sahraoui pour demander une enquête internationale. De son côté la famille du défunt exige une autopsie.