Un rabbin de la communauté juive de Casablanca a été victime d’une agression. Cet acte pour l'instant isolé semble en relation avec les événements à Gaza et inquiète la communauté juive marocaine. Un incident qui intervient quatre jours après les assertions du ministre de l’Intérieur sur la menace terroriste sérieuse qui guette le Maroc.
Depuis la publication du rapport d’Amnesty international sur la torture mettant en cause le Maroc, le gouvernement a décidé de réagir en soumettant les allégations à des enquêtes. Mais celles-ci se finissent jusqu’à présent par l’arrestation des initiateurs des plaintes pour «dénonciation calomnieuse». Et parmi les victimes on retrouve deux membres du Mouvement du 20 Février, Oussama
Le projet de loi sur les banques islamiques trébuche à la Chambre des conseillers. Pourtant son passage se présentait comme une simple formalité, notamment après son adoption à l’unanimité par les députés. Le président de la Chambre surprend toute la classe politique et décide d’adresser le texte au Conseil économique et social.
Au parlement, le ministre des Affaires étrangères assure que le conflit du Sahara est strictement une affaire entre le Maroc et l’Algérie. Mezouar a accusé le voisin de l’Est d’être responsable de «médiocres manœuvres». Il a également révélé que le Maroc a refusé une visite de Christopher Ross. Depuis les mises en garde de Mohamed VI à Ban Ki-moon, il est clair
Le ministre de l’Intérieur reconnait qu’une menace terroriste guette le Maroc. Pour y faire face, un dispositif de sécurité est mise en place. Le danger, comme a révélé Mohamed Hassad, émane des combattants marocains en Syrie et en Irak ainsi que leurs complices en Libye.
Pour les imams et les prédicateurs, la politique est déclaré non grata. Le ministre de tutelle explique cette interdiction par le statut un peu spécial des religieux par rapport au reste des Marocains. Selon ses dires, ils sont placés sous la bienveillance du commandeur des croyants, le garant de leurs droits.
Face à la punition collective qu’inflige, depuis trois jours, l’armée israélienne à la population de Gaza, le Maroc et la France ne sont pas sur la même longueur d’onde. Rabat vient de condamner les agressions israéliennes. En revanche François Hollande soutient fermement Israël alors que même Barack Obama a pris ses distances avec Benyamin Netanyahu.
Une formation politique écologiste espagnole demande au roi Felipe VI de présenter des excuses au Maroc pour les crimes commis dans le Rif par l’armée espagnole en application des ordres directs de son arrière-grand-père Alphonse XII.
La normalisation des relations avec Israël est de nouveau dans le collimateur. Une section du PJD, tout en se gardant d’évoquer la responsabilité du gouvernement Benkirane, a choisi d’interpeler le wali de la région, relevant de l'autorité du ministère de l’Intérieur, en vue de prendre des mesures contre «l’invasion des dattes israéliennes» à Al Hoceima. Une sortie médiatique qui
Un magazine égyptien vient d’offrir au chef du Polisario une occasion pour la promotion de ses thèses au reste du monde arabe. Un entretien durant lequel, il a abordé la baisse des aides de l’Union européenne, l'option du retour aux armes, des souvenirs de Kadhafi et le manque de soutien des régimes arabes au mouvement séparatiste sahraoui.