Des femmes en djellabas dans les rues de la capitale marocaine, Rabat. Il ne s’agit pas de la projection d’un documentaire sur le Maroc des années 50 ou 60 mais d’un appel aux femmes de manifester contre le Mouvement FEMEN vêtues de cet habit traditionnel. Une initiative qui s'inscrit dans le sillage des récentes protestations des Tunisiennes en «Sefsari» et des Algériennes en «Haik».
Après quatre ans d’absence, les ministres de l’Intérieur du groupe 5+5 se sont rencontrés en Algérie. Depuis, le contexte international et régional a complétement changé. Le renforcement de la sécurité en Méditerranée n’est plus une priorité, c’est le Sahel qui est la majeure préoccupation. Une région où terrorisme et trafic de drogue vont de pair.
Dans son rapport, Ban Ki-moon dit craindre des conséquences négatives de la crise au Mali sur le conflit au Sahara. Le secrétaire général de l’ONU propose, également, l’installation d’un mécanisme indépendant pour le contrôle des droits de l’Homme ausi bien au Sahara que dans les camps de Tindouf.
Le 2 janvier 2012, devant des deux Chambres du parlement, Benkirane s’engageait à «la mise en œuvre d’une politique publique intégrée et cohérente visant à réaliser la complémentarité d’action entre les différents intervenants dans la gestion des affaires des Marocains résidant à l’étranger». Quinze mois, plus tard, il devra répondre de l’état
A l’heure où l’économie marocaine cherche encore le bout du tunnel. Dans l’obscurité elle tâtonne avec incertitude. Et pourtant, une des solutions à même de réduire les dépenses publiques serait de stopper les virements aux fonctionnaires fantômes dont le nombre est estimé entre 70 et 90 000. A fin février, les salaires des agents publics ont atteint 18,5milliards dh. Une somme qui serait
Dans un discours fortement puisé dans le référentiel des groupes islamistes, proches d’Al Qaida, des pirates informatiques arabes, anticipant toute réaction hostile des autorités tunisiennes et marocaines à leur égard, menacent de s’en prendre à ces deux pays au même titre qu’Israël.
En s’engageant, en 2006, dans le combat européen contre l’immigration illégale, le Maroc, par excès de zèle ou inexpérience, a fait fi de certaines lois internationales qui protègent les réfugiés et les a tout simplement bafouées. Il devra en répondre devant l’ONU.
Visiblement, les engagements gouvernementaux auront du mal à résister à la crise économique. En 2012, l’équipe Benkirane se refusait de réduire le budget consacré à l’investissement. En cette année, elle vient de réviser sa position. Les secteurs sociaux seront les premiers affectés par une telle mesure.
Liberté, indépendance financière ou caprices, seraient de possibles raisons expliquant l’engouement des Marocaines riches pour les casinos. Mais les autres femmes aux bourses moyennes jouent également non pas dans ces lieux de fortunés mais dans les bureaux de la Loterie nationale et la Marocaine des jeux et des sports.
Comment réduire l’influence religieuse du Maroc à Melilla ? C’est la question qui taraude les esprits de la droite qui gouverne cette ville. Son président vient de déclarer qu’il souhaitent des religieux ayant la nationalité espagnole et nommés par les autorités de Madrid et non pas des prédicateurs «payés par le Maroc».