En attendant la tenue de l’assemblée générale de la Fédération de football, prévue en avril, le nom de Badou Zaki est pressenti pour succéder à Rachid Taoussi dont le contrat expirera en septembre. C’est du moins l’objectif d’une page lancée sur facebook.
En Espagne, Javier Bardem est à son corps défendant sous les feux de la rampe. Non pas pour le tournage d'un nouveau film ou une plaidoirie aux Nations-Unies en faveur du Polisario mais à cause d’une «violation» des droits des employés de son restaurant, jetés à la rue grâce à une loi trop laxiste. L’artiste a vite réagi. En vue de circonscrire l’onde de choc, il a fait endosser toute la
L’accès à l’information relèvera du parcours du combattant. Le gouvernement y travaille. Son avant-projet de loi entend vider ce droit de sa sève au risque de le transformer en une coquille vide. .find_in_page{background-color:#ffff00 !important;padding:0px;margin:0px;overflow:visible !important;}.findysel{background-color:#ff9632 !important;padding:0px;margin:0px;overflow:visible !important;}
Les Marocains ont une mauvaise image de la magistrature. Et pourtant, les hommes et les femmes de cette profession travaillent dans des conditions lamentables. Leur nombre est insuffisant alors que celui des dossiers qu’ils instruisent est en nette augmentation. Sous d’autres cieux, le remède à cet handicap est le recrutement de jeunes. Chez-nous, ils sont 390 magistrats en chômage forcé. .find_in_page{background-color:#ffff00
Depuis son indépendance en 1961, la Mauritanie avait entretenu des liens très privilègiés avec le Maroc. Le coup d’Etat de 1978 contre le premier président Mokhtar Ould Dadah avait mis un terme à cette situation, la donne a changé en faveur de l’Algérie. Depuis, Rabat tente tant bien que mal de récupérer sa position d’antan. Une quête qui engendre des hauts et des bas.
L’économie marocaine peine à s’extirper de la zone rouge. Le début 2013, en dépit d’une bonne pluviométrie, ne diffère en rien de l’année précédente. Et c’est le ministère des Finances qui annonce cette mauvaise nouvelle dans son tout nouveau bulletin sur les statistiques des finances publiques.
Juste une année après la polémique sur le séjour marocain d’Abdellah Senoussi, le patron des services secrets de Kadhafi, voilà qu’éclate l’affaire de l’extradition par Rabat d’Ayman Essayeh, un ancien proche du dictateur.
Elles s’appellent Khadija, Zineb, Fatima. Elles ont un point en commun : ce sont des petites "bonnes"torturées par leurs bourreaux, leurs employeurs. Les plus chanceuses entres elles vivotent encore. Et en silence. Quant aux autres, elles sont sous la terre, comme c'est le cas d’une mineure de 14 ans à Agadir qui travaillait chez un couple : un gendarme et une institutrice.
Comme avec Gerets, Taoussi est toujours à la recherche de son onze type. A chaque rencontre, il aligne une équipe différente. Ce dimanche, face à la Tanzanie, la recette consistant à mélanger les locaux (six) à cinq professionnels évoluant en Europe a tourné au vinaigre. Encore, une erreur de casting.
A la longue liste des points de tensions entre le Maroc et l’Algérie vient de s’ajouter l’affaire Islam Khoualed, un mineur algérien condamné à un an de prison pour une agression sexuelle présumée sur un enfant marocain. Les médias algériens ont réservé des articles à cette sentence en voici quelques titres.