A l’heure où l’économie marocaine cherche encore le bout du tunnel. Dans l’obscurité elle tâtonne avec incertitude. Et pourtant, une des solutions à même de réduire les dépenses publiques serait de stopper les virements aux fonctionnaires fantômes dont le nombre est estimé entre 70 et 90 000. A fin février, les salaires des agents publics ont atteint 18,5milliards dh. Une somme qui serait
Dans un discours fortement puisé dans le référentiel des groupes islamistes, proches d’Al Qaida, des pirates informatiques arabes, anticipant toute réaction hostile des autorités tunisiennes et marocaines à leur égard, menacent de s’en prendre à ces deux pays au même titre qu’Israël.
En s’engageant, en 2006, dans le combat européen contre l’immigration illégale, le Maroc, par excès de zèle ou inexpérience, a fait fi de certaines lois internationales qui protègent les réfugiés et les a tout simplement bafouées. Il devra en répondre devant l’ONU.
Visiblement, les engagements gouvernementaux auront du mal à résister à la crise économique. En 2012, l’équipe Benkirane se refusait de réduire le budget consacré à l’investissement. En cette année, elle vient de réviser sa position. Les secteurs sociaux seront les premiers affectés par une telle mesure.
Liberté, indépendance financière ou caprices, seraient de possibles raisons expliquant l’engouement des Marocaines riches pour les casinos. Mais les autres femmes aux bourses moyennes jouent également non pas dans ces lieux de fortunés mais dans les bureaux de la Loterie nationale et la Marocaine des jeux et des sports.
Comment réduire l’influence religieuse du Maroc à Melilla ? C’est la question qui taraude les esprits de la droite qui gouverne cette ville. Son président vient de déclarer qu’il souhaitent des religieux ayant la nationalité espagnole et nommés par les autorités de Madrid et non pas des prédicateurs «payés par le Maroc».
La population carcérale ne cesse d’augmenter, 1000 nouveaux détenus arrivent chaque mois. C’est le principal constat du rapport de l’Observatoire Marocain des Prisons. Hafid Benhachem, le patron de l’administration des centres pénitenciers, renvoie la balle au gouvernement Benkirane qui n’a pas répondu favorablement à sa demande de renforcer son équipe de 1600 nouvelles recrues en 2013.
Les mosquées de France sont en grande partie sous la tutelle du Maroc, seuls 220 lieux de culte dépendent, encore, de l’Algérie. Le quotidien Achourouk Al Yaoumi explique la cause par l’insouciance de l'Etat algérien et de Dalil Boubakeur.
Intoxication alimentaire, boycott des repas, manifestations des étudiants réclamant l’ouverture d’une enquête et interventions des forces de l’ordre, c’est quasiment le quotidien à l’université de Kénitra, et ce, depuis fin mars.
Récession oblige, les sans-papiers sont déclarés persona non grata en Espagne. Pour les encourager à quitter le pays, le gouvernement Rajoy leur fait miroiter une aide de 1600 euros.