Cela fait quarante ans que l’affaire Ben Barka est dans l’ombre, quarante ans que la famille du disparu espère que l’énigme soit résolue. L’affaire suscite toujours autant d’intérêt ; les questions sans réponses demeurent nombreuses et la réalité prend l’allure d’un polar…
La grippe aviaire continue de faire bouger les responsables de tous bords. Non pas que ces dégâts soient considérables jusqu’à présent, mais c’est surtout par crainte d’un scénario pour le moins macabre. Nos medias, tour à tour informent, rassurent, préviennent ou alertent. Quoi qu’il en soit, le virus inquiète.
Le Maroc d’après les élections législatives 2007 serait-il gouverné par les islamistes ? Tout porte à le croire. Plusieurs spécialistes prévoient une « razzia » du PJD (Parti de la Justice et du Développement) lors de ces élections, les deuxièmes depuis l’intronisation du Roi Mohamed VI.
Témoignage à l’occasion du 40e anniversaire de sa disparition Depuis la disparition d’un grand militant du tiers monde qui luttait contre l’humiliation des ressortissants des pays dit « nouvellement indépendants », nous avons assisté à un total manque total de respect pour les normes les plus élémentaires des droits de l’homme, de la part de plusieurs instances nationales et internationales. En cette triste occasion, mon témoignage est avant tout une marque de révolte
Plus d'un million de Marocains ou de Français d'origine marocaine vit en France. Cette population est la plus grande population de Marocains expatriés. Globalement homogène dans ses premières vagues d'immigration, sur le plan socioprofessionnel, elle est de plus en plus variée et diversifiée. Nous n'y retrouvons plus que des ouvriers ou de la main d'oeuvre qualifiée. Des cadres et des compétences de haut niveau composent sa texture actuelle.
«Les positions des parties sont quasi- inconciliables». Cette déclaration de Peter Van Walsum revient inlassablement narguer les pages de tous les journaux marocains et algériens. C’est effectivement avec ce constat qu’a achevé l’envoyé de l’ONU la tournée exploratoire entamée dans la région, dans le but de tâter le pouls des pays concernés par le dossier du Sahara.
Tout a commencé avec les grands chantiers de construction qu’a connus l’Europe après la deuxième guerre mondiale, avec l’épanouissement économique de cette région du monde. Un immense chantier auquel il manquait des milliers de mains-d’œuvre, il fallait les trouver, les recruter là où souvent la misère, la pauvreté permettent et justifient le déracinement et l’exploitation. Personne n’imaginait que plus tard s’inscrira, béante, sur cet espace élevé, construit et