La mobilisation en faveur d’Ali Anouzla a baissé d’un cran. Preuve en est le sit-in organisé aujourd’hui à Salé. Les défections étaient nombreuses. Quelques slogans scandés pour la circonstance et les rares participants sont vite rentrés chez eux. L’interrogatoire avec le journaliste se poursuit encore.
Ce mardi 22 octobre est une journée décisive pour Ali Anouzla. Vers 10 heures du matin, il aura rendez-vous avec un juge d’instruction. Sa mise en liberté provisoire est une option à ne pas écarter, sachant que le journaliste a présenté des gages de sa bonne foi. Il a, en effet, pris ses distances avec la nouvelle direction de Lakome et avec les avocats qui assuraient, jusque là, sa défense.
En attendant de connaître le successeur de Rachid Taoussi à la tête des Lions de l’Atlas, la Fédération de football élira, le vendredi 25 octobre son président. Deux PAMistes se disputent le poste. L’un d’eux, Abdelilah El Akram, président du WAC, s’était même présenté, dans une circonscription de Casablanca, aux législatives de novembre 2011 sans parvenir à arracher son
Voilà plus de deux mois que les jeunes de Targuist battent le pavé. Leur principale revendication : la concrétisation sur le terrain de projets lancés par le roi Mohammed VI lors de sa visite en 2007. Six ans plus tard, rien n’a été fait. Les promesses du gouverneur d’accélérer le «rythme» des réalisations ne semblent guère convaincre les représentants des contestataires. Dimanche, ils sont
La visite de Christopher Ross à Laâyoune et Smara a été l’occasion idoine pour les partisans du Polisario de descendre dans la rue. L’intervention des forces de l’ordre les a amplement aidées dans leur revendication d’élargir le mandat de la Minurso à la surveillance des droits de l’homme au Sahara.
En août 2012, l’ONU réclamait la libération d’un Allemand d’origine marocaine, Mohamed Hajib, condamné à cinq ans de prison pour terrorisme. Le 11 octobre 2013, l’organisation des Nations Unies récidivent : elle condamne la détention arbitraire de Abdessamad Bettar, mis en cause dans l’attentat d’Argana, et exige qu’il soit relaxé et indemnisé.
L’esclavagisme moderne a son indice. Et c’est la Walk Free Foundation qui en est l’auteure. L’ONG, soutenue par Hillary Clinton et Bill Gates, vient de publier le classement mondial de cette pratique. Le Maroc s’en sort pas trop mal, il est 93ème sur un total de 162 Etats, avec une estimation de 50 000 esclaves.
L’immigration des juifs du Maroc n’était pas une promenade de santé. Pour réussir un tel pari, les dirigeants israéliens ont sollicité l’aide du Mossad. Les services secrets lançaient, alors, une opération pour «convaincre» leurs coreligionnaires de quitter le royaume. Détails.
La dernière fois que des représentants du Polisario et du Maroc se sont retrouvés, dans le cadre des réunions informelles, remonte à mars 2012. Christopher Ross avait tenté, entre octobre et novembre de la même année, de convaincre les partis de prendre langue, en vain. Une année plus tard, le voilà qu'il essaie de nouveau.
RSF vient de classer le Maroc à la 136ème place de son baromètre de la liberté de presse dans le monde. L’année prochaine, à moins d’une réforme du champ médiatique, le classement sera pire que celui de 2013. Les Affaires des journalistes Ali Anouzla et Mustapha Hasnaoui, poursuivis pour terrorisme, en seront les principales causes.