Encore une fois, «les intérêts supérieurs de la nation» sont brandis par un ministre du gouvernement Benkirane pour justifier une mesure. C'est au tour d'Abdelâdim el Guerrouj, à la tête du département de la Fonction publique, qui a usé de cet argument pour expliquer le maintien de l’heure d’été jusqu’au 27 octobre. Avant lui, Mustapha Ramid avait levé la même carte pour justifier la
Le début procès en appel du Marocain condamné à trente mois de prison après avoir embrassé la foi chrétienne a réservé à la famille du prévenu une bonne surprise. La Cour lui a octroyé la liberté provisoire.
Les rangs des opposants mauritaniens vivant au Maroc, pourraient être renforcés par l’arrivée d’une nouvelle recrue de marque. L’ancien président, Maaouiya Ould Taya qui, après des années d’exil dans les monarchies du Golfe, ambitionne de jouer un rôle dans la politique intérieure de son pays.
Une fois n’est pas coutume, l’Algérie a extradé vers le Maroc deux présumés combattants islamistes. La coopération sécuritaire entre les deux régimes est à l’image de leurs relations tendues.
Après les éloges européens sur la nouvelle politique migratoire du Maroc, voilà qu’arrivent les critiques. Et bien entendu, c’est sur le sujet des droits de l’homme au Sahara qu’elles se concentrent. Au parlement européen, les amis du Polisario ont réussi à transformer un rapport, en principe consacré au Sahel, en un réquisitoire contre le Maroc.
Après des semaines de médiatisation intense, le Danielgate réapparait sur les radars de l’actualité. Ce jeudi, le pédophile a déclaré devant un juge qu’il refuse son extradition vers Maroc. La justice espagnole a prolongé la détention de Galvan quarante jours supplémentaires.
Visiblement, l’Etat ne souhaite pas voir un remake du camp Gdim Izik à Assa. Pour éviter un tel scénario, des négociations sont en cours avec les représentants de la tribu des Ait Oussa.
Presque dix jours après l’arrestation d’Ali Anouzla, une première réaction du prince Moulay Hicham. Pour lui, il ne s’agit pas là d’un fait isolé. Le PJD a eu également son lot de critiques, il en est de même pour le Makhzen.
Les membres de la famille du jeune marocain, condamné à 30 mois de prison, pour avoir embrassé le christianisme, vit isolée dans le village d’Ain Aicha. Les habitants les évitent. Un drame qui s’ajoute à l’incarcération de leur fils. Une détention qui se déroule dans de mauvaises conditions. Il a été tabassé par les autres détenus à cause de sa religion. Craignant pour sa vie, la
Ali Anouzla a quitté les locaux casablancais de la Brigade nationale de police judiciaire pour la prison de Salé. Hier soir, un juge d’instruction a commencé l’interrogatoire du journaliste. Les charges retenues contre le directeur de Lakome sont lourdes. C’est le deuxième journaliste marocain poursuivi pour terrorisme cette année.