Les dernières élections municipales en France ont acté l'effondrement du PS, consacré la percé inédite de l'extrême droite, et célébré la vague bleue pour la droite. Mais au lieu de remettre en cause le discours malsain ambiant, les décideurs politiques, les intellectuels ou les stars médiatiques, continuent à ignorer l'islamophobie régnante, ou pire l'encouragent.
En l’espace de quelques semaines, le roi Mohammed VI a lancé des initiatives ou des projets à coups de milliards de dirhams. Alors que le pays est déjà engagé dans de couteux projets, la question du financement de ceux nouvellement annoncés se pose.
Cette semaine a été un électrochoc pour les Casablancais. Les photos et articles relatant des cas d'agressions ou de vols avec violence se sont multipliés. Les politiques quant à eux semblent, encore une fois, vivre sur une autre planète.
L’expulsion récente de 14 réfugiés syriens vers Istanbul qui fait suite à la publication de deux communiqués au ton ferme du ministère des Habous et de celui de l’Intérieur, a suscité beaucoup d’incompréhension au sein des ONG, du HCR, mais aussi chez beaucoup de citoyens marocains. Si certains essayent de trouver une explication plus ou moins rationnelle, le mutisme des autorités marocaines ajoute à
Le Maroc va mal. C’est un constat émis par bon nombre de nos concitoyens qui vivent difficilement la crise économique. Les plus désespérés sombrent dans les activités illégales pour joindre les deux bouts. Pourtant, des liens de solidarité, de courage et de justice continuent à assurer la cohésion de la société marocaine. Tout n’est pas perdu. Récit d’une histoire vécue, ce lundi,
Une question «provoc», qui est souvent formulée par certains responsables ou même citoyens lambda pour empêcher tout élargissement de ce droit fondamental au Maroc. Après la percée des chaines satellitaires, le succès des licences octroyées pour des radios privées, l'ouverture ratée pour les chaines télés privées, le tsunami provoqué par le foisonnement des sites d'informations, blogs et
Le ministre Anis Birou s’est engagé dans une vaste opération de sensibilisation des différents acteurs du royaume. Ce matin, vendredi 7 février, c’est devant plusieurs membres de la CGEM, qu’il a présenté la nouvelle politique migratoire du Maroc et a répondu aux différentes questions ou appréhensions des patrons marocains.
Décidemment la presse marocaine est fâchée avec les chiffres. Qu’ils soient arabophones ou francophones, plusieurs journaux ont titré que «l’alcool et le tabac a rapporté 80 milliards de Dh à l’Etat». Surpris par cet énorme montant pour un pays comme le Maroc, nous avons cru au départ à une erreur de chiffres. Nous avons retrouvé le document d’origine. Plongée dans une petite
Alors que les pays européens sont souvent pointés du doigt pour les conditions draconiennes ainsi que la politique des quotas sur la délivrance des visas Schengen, l’ambassadeur de France à Rabat nous a révélé un dispositif plus souple pour les Marocains diplômés de l’enseignement supérieur français revenus au Maroc. Détails.
Reddition des comptes, transparence, lutte contre la corruption et bonne gouvernance, nous chantaient les défenseurs de la constitution de 2011. Aux grands mots, les plus beaux stratagèmes pour étouffer les affaires avant même d'atterrir entre les mains de la justice. Belkhayat, Mezouar, Baddou, Maroclear, CCME, et bien d'autres encore, ont été mis en cause dans des supposés abus d'argent public sans que la machine judiciaire ne s'en empare.