Après avoir connu le mois de juillet le plus chaud de la décennie, l’Espagne est, depuis cette semaine, à nouveau touché par la canicule. Pas facile de faire le jeûne dans de telles conditions. Mais, comme l’explique Mouna, Marocaine vivant à Barcelone, notre pouvoir mental est impressionnant et peut arriver à surmonter les difficultés.
¿Cómo se vive el mes sagrado de Ramadán cuándo se vive lejos de Marruecos? ¿Cuál es la vida diaria del marroquí a través del mundo durante el ayuno? Para alcanzar la diversidad de las situaciones de las familias marroquíes en el mundo, organizaremos a lo largo de este mes, entrevistas con Marroquíes viviendo en diferentes países, diferentes continentes.
Comment passe-t-on le jeûne du mois de Ramadan quand on est loin de chez soi ? Dans un pays où il y a peu de Marocains ? Dans notre série d'interviews de MRE, nous partons pour une destination au cœur de l’Europe, le pays de la valse : l’Autriche. Hamid est psychologue, mais également un membre actif de la société civile marocaine en Autriche, ainsi qu’un élu Verts de la ville de Feldkirch (Ouest du pays). Pour Hamid,
Comment passe-t-on le jeûne du mois de Ramadan quand on est loin de chez soi ? Dans un pays où il y a très peu de musulmans et encore moins de Marocains ? Dans notre série d'interviews de MRE, nous partons pour une destination peu commune : les pays baltes. Houda S., 24 ans, effectue actuellement un stage à Riga, la capitale de la Lettonie, dans le cadre de ses études supérieures en marketing du tourisme.
Comment vit-on le mois sacré de Ramadan quand on habite loin du Maroc ? Quel est le quotidien des Marocains à travers le monde pendant le jeûne ? Pour effleurer la diversité des situations des familles marocaines dans le monde, nous organiserons tout au long de ce mois, des interviews avec des Marocaines ou Marocains vivant dans différents pays, différents continents.
Le premier forum des jeunes Marocains du Monde s'est ouvert à Ifrane sur des discours volontaristes de la part de Mohamed Ameur, ministre de la Communauté marocaine résidant à l'étranger, et Driss El Yazami, président du Conseil de la communauté marocaine à l'étranger (CCME).
Si la majorité des émigrés marocains de première génération a longtemps cultivé le mythe du retour sans jamais oser franchir le pas, leurs enfants nés ou ayant grandis en France, en Belgique ou aux Pays-Bas, ... sont en train de montrer l'exemple. De plus en plus de binationaux, à l'aise avec leur double identité et leur double culture, riches d'une formation et d'expériences convoitées, viennent tenter