Au lendemain du limogeage du sélectionneur de l’équipe nationale du Maroc, Henri Michel, pour «insuffisance de résultats» lors de la Coupe d’Afrique des Nations 2008 (CAN), un certain «ouf» de soulagement est perceptible au sein de la population. Les «c’est un nul», «il n’aurait jamais dû prendre les rennes de notre équipe» ou encore « il s’est permis de critiquer l’équipe alors qu’il est grassement payé», font légion. Les médias, et la presse écrite
Si durant de nombreuses années, le public marocain (notamment celui vivant à l'étranger) ne manquait pas de critiques à l'égard des feuilletons télévisés servis pendant le mois de ramadan, les choses commencent à changer grâce à une nouvelle génération de réalisateurs et des concepts novateurs.
Décidemment, les médias marocains perdent la «boule», en ce début d’année 2008. Cette période, propice à l’expression de vœux et de réussite, donne lieu, au Maroc, à des coups bas, sur fonds de règlement de comptes, chacun utilisant son propre journal. La cerise sur le gâteau, c’est que cela ne passionne que les concernés, à savoir une poignée d’individus.
Au lendemain de l’élimination prématurée de l’équipe nationale de football marocaine, qui a plongé le pays dans un profond désarroi, il semblerait que l’heure est venue de « passer à table» ? D’une part, pour tenter de dégager les responsabilités. Et ensuite afin de procéder à un renouvellement de la classe dirigeante. Du côté des joueurs, et de leurs piètres prestations, l’analyse purement sportive (manque de motivation, schémas de jeu,…), interviendra un peu plus
Au lendemain de la signature du protocole d’intention signé entre le Roi Mohammed VI et Carlos Ghosn, PDG du groupe Renault-Nissan, le 1er septembre 2007, la région de Tanger se voit renforcer dans son «rôle» de pôle industriel du Royaume. Il s'agira de l’implantation «d’un des plus importants sites industriels d’Afrique», selon les termes d’Ahmed Chami, ministre du Commerce et de l’Industrie à Tanger.
Ils avaient pourtant si bien débuté leur entrée en matière avec une belle prestation, un jeu léché et une flopée de buts contre la Namibie. Mais après le match de la Guinée, les Lions de l'Atlas se sont mis dans une situation très délicate qui les oblige à un exploit contre le pays hôte, et l'un des grands favoris de la compétition, pour leur dernier match dans le groupe A.
Lundi 21 janvier 2008, la France a eu un réveil douloureux. En effet, à la Une du quotidien «Le Parisien» figurait un article intitulé «La France sera bientôt punie», dixit la «veuve noire» d’Al Qaïda. De fait, on s’attendait à des révélations fracassantes ou encore à de nouvelles informations précises sur le réseau Al Qaïda, au lendemain du démantèlement d’une cellule terroriste dans la banlieue de Barcelone. Malheureusement (ou plutôt heureusement), rien de tout
Après une brillante entrée en matière des Lions de l'Atlas avec une large victoire 5 buts à 1 contre la Namibie, le onze marocain poursuit la compétition en affrontant l'équipe de Guinée, le 24 janvier à 18h (GMT+1) dans l'enceinte du Ohene Djan Stadium à Accra.
Interpellé par notre rédaction, Driss Yazami, président du Conseil des Marocains de l’Etranger, n’a pas daigné répondre à nos questions. De facto, nous sommes allés à la rencontre de Abdelhamid El Jamri, expert auprès des Nations Unies, vice-président du Comité onusien sur les Droits des Migrants et…membre du Conseil Supérieur de la Communauté Marocaine résident à l’Etranger (CSCME). Il s’exprime sur l’environnement des désignations au Conseil, sur le tollé suscité
«L’affaire Curutchet», jeune (36 ans) directeur salarié de la société STE à Casablanca, spécialisée dans l’import-export, semble prendre une tournure politico-médiatique qui pourrait mettre à nu (une fois de plus) le système judiciaire marocain. Condamné pour trafic de drogue, il ne cesse de clamer son innocence avec comme seuls soutiens sa famille et ses amis en France. Jeudi 10 Janvier, ils ont organisé une manifestation devant l'ambassade du Maroc à Paris pour attirer