Entre crimes contre l’humanité commis par le régime baathiste en Syrie et assassinat d’écoliers juifs en France, l’actualité au Maroc peut sembler anodine vu de l’extérieur. Les Marocains savent, eux, qu’il n’en est rien. Une économie menacée par la sécheresse – au pays de «gouverner, c’est pleuvoir» (formule du Maréchal Lyautey), chacun sait ce que cela signifie – et
Il n’y a pas de chemin vers l’horizon. La cruauté des montagnes nous encercle de partout. L’hiver a eu raison de nos bêtes et de nos récoltes. Nos aspirations à la vie sur cette terre, la nôtre, sont avortées par le temps et l’attente du néant. Nous somme restés à pleurer sur le drame d’une vie dont nous sommes spectateurs.
Une conférence sur la problématique de la gouvernance au Maroc à travers des cas précis a eu lieu à Rabat le 07 mars 2012 à l'initiative de l’Instance nationale pour la protection des biens publics, de l’Association des télé-communicants marocains et de l’Association marocaine de lutte contre la corruption.
Vite, vite, que je sorte mon étendard avant que la fugace journée internationale de la femme ne me glisse entre les doigts et que je ne sois dans l’obligation d’attendre trois cent soixante cinq jours pour le faire!
Contrairement à certains de mes pas peu-chers compatriotes qui prennent leur goûter devant une télé branchée sur le plateau de C’est Dans l’Air et qui finissent leur Week-End sur On N’est Pas Couché, je ne me suis jamais senti concerné par les débats nauséabonds franco-français.
Si l’on devait sacrifier à la coutume de faire un bilan des tous premiers mois de l’exercice du nouveau gouvernement, il faudrait s’interroger sur la suite donnée aux deux slogans de taille sur lesquels le PJD , parti majoritaire, s’est adossé lors de sa campagne électorale : la recherche et la promotion de la compétence sans discrimination pour les hauts postes de responsabilité et le respect des libertés
En réaction à des commentaires trop rapides sur le rôle des réseaux sociaux dans les événements de Tunisie et d’Égypte, CPA mettait en ligne un billet à propos des origines culturelle numériques de la Révolution arabe. Qu’en est-il un an plus tard, sachant qu’on en est toujours à se demander si le mot «révolution», souligné par une majuscule, est bien celui qui convient pour
On le sait, de plus en plus d'Etats prennent soin de leur diaspora. Et pour cause, celles-ci représentent bien souvent un enjeu économique de taille. Les transferts financiers ont quintuplé en 10 ans, atteignant en 2010 450 milliards de dollars. De surcroit, ces transferts se sont montrés beaucoup plus résilients à la crise économique que les investissements directs de l'étranger ou l'aide publique au développement. Pourtant,
Le mouvement, ce sont les assemblées générales, les composantes (allant des Adlistes aux nahjistes en passant par les indépendants), les slogans, les banderoles, les manifs, les figures. L'esprit, c'est l'irrévérence, la citoyenneté, le courage, l'ironie, la vigilance, la fraternité.
Cela fait une année maintenant que le mouvement du 20 février a entamé sa première marche, depuis, de l’eau a coulé sous les ponts.