«Les Hommes Libres», dernier long métrage du réalisateur franco-marocain Ismael Ferroukhi, suscite depuis quelques jours, un vif débat entre les historiens en France. Principal point de discorde, le message sous-jacent véhiculé par le film : les musulmans de la Mosquée de Paris, qui auraient sauvé des juifs, persécutés durant la deuxième Guerre mondiale.
Ce n’est pas trop tôt. Des avocats des droits civils à New York se sont réveillés et ont finalement décidé de s’emparer de l’affaire des Musulmans traqués par la police new yorkaise. Depuis les attentats de Casablanca en 2003, les Marocains sont les premiers à être sur la ligne de mire de la NYPD. Ils sont traqués, espionnés et sans cesse soupçonnés d’être des terroristes. Les
Zine El Abidine Ben Ali, le président tunisien aujourd’hui déchu, voit ressurgir les histoires les plus sordides ou les plus coquasses de son passé. En août, l’hebdomadaire tunisien Haqaeq révélait qu’il avait une fille cachée au Maroc (voir notre article). Une affaire qui avait déclenché, à l’époque, la colère du défunt roi Hassan II. Aujourd’hui, c’est au tour du
ما بات يسمى بربيع الديمقراطية في المجال العربي اليوم فصل مفتوح على احتمالات الازدهار والتراجع والانتكاس في الآن الواحد، يتحكم فيه تطور الأحداث وتفاصيل المشهد التي ترتب لمرحلة ما بعد إسقاط الرؤساء ورموز الاستبداد و"الاستثناء العربي" كما يسميه المحللون.
«Banlieue de la République», c’est le titre d’une enquête qui porte sur l’articulation entre société, politique et religion en banlieue, rendu publique aujourd’hui, mardi 4 octobre, par l’institut Montaigne. L’étude en question a été menée par le politologue Gilles Kepel, et cinq autres chercheurs auprès des habitants des quartiers dits sensibles, des communes de Clichy-sous-Bois et
La mosquée Abou Bakr Essedik de Montbéliard (à l'est de la France), a été le théâtre d’actes à caractère islamophobe, dans la nuit de dimanche à lundi dernier. Une camionnette se trouvant à proximité, a été incendiée et aurait pu réduire le lieu de culte en cendres, sans l’intervention des pompiers. Des tracts racistes ont été découverts sur le site.
Des dessins, de la dentelle et des bouts de tissu attachés à des fils avec des pinces à linge, une machine à coudre, des livres sur le stylisme, des vêtements et des accessoires par-ci par-là. L’atelier, sis au quartier CIL, à Casablanca, parle pour sa propriétaire. Ghitta Laskrouif s’est faite connaître en se spécialisant dans la couture de «récupération»car, pour cette jeune styliste,
Les parents des élèves expulsés de l’école espagnole de Casablanca ont tenu un sit-in devant l’école Juan Ramon Jimenez aujourd’hui. Dès 7h45 ils ont occupé l’entrée de l’école, sis boulevard d’Anfa, pour contester cette expulsion qu’ils jugent «abusive et discriminatoire» et demander la réintégration des enfants. Mis à la porte à la fin de
Un sitcom sur les arabes, principalement en langue arabe, passe en prime time sur une chaine israélienne. Le concept est risqué, mais il a bien marché. Avoda aravit, «travail d’arabes» en hébreu, est une série écrite par un arabe d’Israël, Sayed Kashua. Elle retrace la vie d’un arabe d’Israël, un de ceux qui n’ont pas fui après la fondation de l’état d’Israël en 1948.
«Le rire est bon pour le cœur, bon pour le corps, bon pour la santé !». Il sera certainement au rendez vous, samedi 8 octobre prochain, à Casablanca, pour une méga-séance de «Yoga du Rire». L’événement sera animé par Françoise Rousse, fondatrice de l’université du rire à Paris et professeur de la joie de vivre, et Nahed Rachad, fondatrice du cabinet «Performances