75 sportifs marocains, 128 millions de dirhams, un tollé médiatique avant le départ, des stars du dopage et … une seule et unique médaille de bronze. C’est le bilan du Maroc au sein de la 30ème édition des jeux olympiques d’été organisée à Londres et qui vient tout juste de prendre fin.
"On ne peut plus continuer avec la logique du tout gratuit à l'enseignement supérieur du Maroc ". C’étaient les déclarations de Lahcen Daoudi, ministre de l'enseignement supérieur au Maroc. Pour étaler plus de détails, ce dernier avait affirmé que "les plus aisés devraient contribuer au financement de leurs études puisqu'elles sont très coûteuses pour l'état". Le ministre n’a pas cessé
Journée plutôt mitigée pour l'athlétisme marocain que ce 5 aout. La journée a commencé par une prestation comme attendue pas plus pour nos deux marathoniennes: Laabani Soumaya une safiote, aujourd'hui installée en Italie où elle a fondé une famille et la guerrière Samira Raif, la casablancaise que l'on retrouve sur tous les fronts quand il s'agit de courses sur route. Elle avale beaucoup de kilomètres durant
Depuis que le Ministre de l’enseignement supérieur a annoncé la fin de la gratuité de l’enseignement supérieur, nous assistons à une levée de boucliers de tous bords : politiques, associatifs et syndicaux. Haro sur le Ministre indélicat qui porte atteinte à ce droit sacré : le droit à l’enseignement gratuit, l’obligeant à venir sur nos écrans pour exempter la classe
Sans nul doute (é)mues par les appels des peuples arabes réclamant davantage de démocratie, l’Arabie saoudite et le Qatar, monarchies qui ne se donnent même pas la peine de faire semblant d’être constitutionnelles, ont donc mis fin à leur traditionnelle rivalité pour financer (et armer) l’opposition au régime de Bachar el-Assad. Voilà plusieurs d’années déjà (2008 si on en croit le
Nous l’avons attendu, ou plutôt nous avons tenté de le fuir. Immobiliser le temps, voire opter pour un retour en arrière. Histoire de continuer à savourer des jus de fruits bien servis, d’éterniser ces agréables moments dans une parcelle d’ombre que le soleil ne parvient pas à atteindre, puis admirer sans relâche ces jolies filles, ces jolis garçons qui parsèment nos rues.
Depuis le début de ramadan, la grande bataille du feuilleton est lancée (sauf pour les Syriens qui, hélas pour eux, ne font pas dans la métaphore). Comme à l’accoutumée, rien ne filtre sur les statistiques d’audience mais le brassage médiatique fait autour de la diffusion d’Omar confirme qu’il s’agit bien de la grosse opération de la saison. Signe des temps, c’est sur les réseaux sociaux que
Le jeûne de ramadan arrive, accompagné comme de coutume par son festin de séries télévisées, avec cette année une super-giga-méga production sobrement intitulée, du nom du second calife, Omar (Ibn al-Khattâb). Présentée dans un clip de promotion (voir ci-dessous, il sera commenté la prochaine fois) sous le slogan «Ramadan nous rassemble», la série a été financée
«Si tu ne sais pas où tu vas, regarde d’où tu viens» aiment à répéter les millions de Français en proie à l’éternel vertige identitaire de «citoyens issus de l’immigration». Un vertige tantôt vécu comme le «paradoxe de l’immigré», tantôt matérialisé par un rejet des symboles français. Un proverbe universel qui reflète la nature
Dans la messe habituelle que nous impose 2M, chaque fin de mois de juin, sur les Marocains du Monde, la déception était encore une fois au rendez-vous. On pourrait reprocher à l’équipe de l’émission «Moubacharatane» un manque de rigueur et une superficialité criante dans le traitement de la question des MRE. Mais ce qui choque le plus, c’est le décalage presque total du ministre de tutelle. Monsieur Abdellatif