Je me suis exprimé sur cette question il y a déjà un moment dans un petit papier affectueusement intitulé «La médaille et le chagrin» (Voir article sur Yabiladi). C’était une réaction spontanée à une réalité circonscrite et sur laquelle, nous étions nombreux à attendre et à espérer des actions et non plus des réactions médiatiques conjuratoires,
C’est Alfred SAUVY qui disait qu’il n’est jamais facile d’écrire à contre courant. Pour avoir été attentif depuis plus d’une vingtaine d’années à la question de la vieillesse des immigrés en France, je n’ai rien perdu du souvenir des moments pionniers et des difficultés que semblait poser cet autre visage de l’immigration, par son incongruité presque, jugée à l’aune
Ces dessins dans un pays où l’extrême droite a fait plus de 13 % des suffrages aux dernières élections législatives et où le débat public sur l’islam est particulièrement radical, ne pouvaient que susciter la polémique. Pour Tøger Seidenfaden, directeur de la rédaction du quotidien danois Politiken, « Il y a volonté d'offenser, car c'est dans la logique présente de l'atmosphère politique au Danemark. La recette à succès, en politique et dans les médias, c'est de dire que
Des expressions libres qui déchaînent les passions La publication d’une douzaine de caricatures danoises, représentant le Prophète Mohammed, dont une le montrant coiffé d’un turban en forme de bombe, provoque depuis une semaine une série de réactions. Des ambassadeurs postés au Danemark sont rappelés. Dans certains pays du Golf les produits danois sont retirés de la vente. En Palestine, à Gaza, un groupuscule armé menace l’Union Européenne, etc.
J’aimerais introduire ce texte par un avertissement indispensable qui situe autant ce contenu que les attentes de cette écriture. Cette question de la précarité et de la pauvreté, nous lui avons consacré entre autre et il y a déjà quelques années, une rencontre en France sur le thème : Vieillesse et précarité. C’est dans le prolongement de cette réflexion que nous avons continué à
Etre jeune au Maroc, comme ailleurs, incite à la réflexion sur l’avenir et sur les perspectives à entrevoir. Y a-t-il d’autres alternatives pour certains, sans vouloir englober toute la jeunesse marocaine dans une entité homogène, que l’émigration, le renoncement ou la radicalisation dans ses différentes expressions? Ces solutions se valent, émanant d’expériences ressenties, souvent, comme une impasse !
«La destinée de notre pays est entre nos mains», L’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH) invitait à prendre part à ce chantier national. Je propose à la discussion ce qui suit, dans le cadre de l’optimisation du point 3 : «Valorisation du potentiel humain, p.15, 16 et 17 dans le rapport/bilan de l’INDH.
Il faut commencer tout d’abord par rendre hommage aux rédacteurs du Rapport de Développement Humain, qui ont analysé 50 ans de développement humain au Maroc (1955-2005), et ont élaboré des perspectives pour 2025. C’est le travail scientifique d’une centaine de personnes indépendantes, pendant deux ans, et qui a donné lieu à 16 rapports thématiques, 75 contributions individuelles, et l’évolution de 100 indicateurs sur 50 ans.
Le Maroc évolue dans un contexte national et international mouvants et interdépendants. Il répond comme, tout Etat, à des exigences politiques, économiques et sociales qui participent à sa mutation.
C’est une chose positive de voir les autorités marocaines affirmer haut et fort leur volonté de rompre avec les pratiques anciennes, et de chercher à insuffler un souffle nouveau aux relations complexes et tumultueuses qu’elles entretiennent avec les marocains et leurs descendants vivant à l’extérieur du pays. Tous, nous savons que si cette relation est reconstruite sur des bases saines et transparentes, chaque partie en retirera le meilleur bénéfice.